vendredi 27 novembre 2009

Nocturne

Chaque nuit, les mêmes pensées, les mêmes sentiments et reflexions.

Des tas de choses à dire, qui ne se forment qu'au moment ou je sombre petit à petit dans le sommeil...
Des phrases qui me ressemblent, des phrases que j'aimerai dire.
Je n'ai jamais osé les ecrire car elles n'ont aucunes utilités, jamais elles ne seront dites.
Hier, aujourd'hui, demain... elles resteront dans ce rêve qui commence et se termine, eternellement, tel un cycle.
Pourquoi ?
Il y a des choses qui ne servent à rien, qui n'ont aucun impact a par se faire encore plus de mal.
Il y avait la peur de dire quelque chose qui detruirait entierement ou partiellement ce petit chateau fait de cartes.
Et maintenant, il y a la peur d'une réaction imprévue mais vécue il y a peu.
Même si, aujourd'hui, mon paradis est devenu un enfer auquel je m'attache, où j'espère qu'un jour, tout redeviendra comme avant.
Aurais-je la force d'y parvenir ?

Mais tout ceci... Toutes ses paroles non dites, s'évanouissent au petit matin, comme les rêves et autres cauchemar, mais qui en même temps, restent présents à chaque instant, minutes, secondes, heures...

"Mais tout cela, tu ne le sauras jamais, car je ne m'en souviendrais pas"

1 commentaire:

  1. "Je n'ai jamais osé les écrire car elles n'ont aucunes utilités, jamais elles ne seront dites."

    Le choix est simple, continuer à se fourvoyer, ou tenter de les interpréter.

    (Ce commentaire n'est en rapport qu'avec la phrase citée, et non pas avec l'intégralité du texte, lequel est beaucoup trop nébuleux pour une personne n'étant , en aucun point , concernée par ces réflexions nocturnes que sont les tiennes.)

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